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L'heroine et toutes les drogues dure c'est à éviter comme la peste pour pas finir dans des états totalement catastrophique, pour ce qui est des benzo attention, à n'utiliser que de façon ponctuelle et c'est très important de si tenir, car sinon il y a addiction et réduction des effet, la ou c'est optimale c'est comme je le décris.

Sinon attention à ne pas prendre de trop grosse dose (notament de certains antipsychotique auquel tu serait pas habitué car faut faire gaffe au effet secondaire genre les mot de tête et le tournis un peux en mode gueule de bois similaire à ce qui précède à une cuite).

L'alcool très très mauvaise idée aussi, ça s'attaque vite au organe et au fois et il ne faut pas très longtemps avant de ce mettre à cracher du sang si la consommation est trop importante.

Les médicament sont la plus sage solution pour réduire l'anxiété et avec parcimonie et prudence pour ne pas ce mettre dans des états pas possible.

Je comprend très bien que t'es envie de décompresser avec, moi aussi ça m'arrive quand je suis submerger par les émotions négative.

Juste garde toujours à l'esprit qu'il faut à tout prix éviter d'empirer la situation et surtout tanter de trouver des compromis simple ou des solution à t'es problème.

ricox a écrit : ↑lun. avr. 27, 2020 6:50 pm L'euphytose ça ne me fait pas grand chose, le truc à la lavande non plus, mais les deux xanax qui sont des anxiolytiques ça me shoot bien.

Je t'es posté une réponse juste au dessus

Je prend du risperdale quotidiennement et pour ma part je vais "plutôt bien", ça varie dans le temps mais de façon pas trop trop pathologique alors ça passe...

S'il y a bien deux choses que je HAIS dans ce monde, c'est le risperdal et l'étoile de shérif.

C'est normal que t'aime pas du tout, quand tant a pris tu devais être en période tendu d'hospit et post hospit, et dans ces situations la les toubib surdose volontairement pour éviter les violences et "adoucir" les gens.

Sauf que je sais ce que ça fait d'être surdosé avec ce type de médoc et je confirme que c'est juste horrible, vraiment.

Par contre des doses raisonnable en traitement de fond ça fait pas grand chose de méchan à par bien réguler l'humeur.

Je picoler grave, un ti-punch, un grand verre de rhum rempli. Ça plus les anxios, je suis défoncé.

Pourquoi tu fais ça ombrius?

Il y a un évenement particulier qui te mes dans cet état?

Tu ma pas sur facebook sans que je m'en sois rendu compte au moins? Parce que ces dernier temps je déconne pas mal je raconte des conneries.

Je m'inquiète un peux la.

Tictac a écrit : ↑lun. avr. 27, 2020 8:49 pm Pourquoi tu fais ça ombrius?

Il y a un évenement particulier qui te mes dans cet état?

Tu ma pas sur facebook sans que je m'en sois rendu compte au moins? Parce que ces dernier temps je déconne pas mal je raconte des conneries.

Je m'inquiète un peux la.

Je fais ça parce que journée de merde + putain de télétravail de merde. J'ai besoin de me défoncer pour oublier.

ricox a écrit : ↑lun. avr. 27, 2020 8:54 pm Je fais ça parce que journée de merde + putain de télétravail de merde. J'ai besoin de me défoncer pour oublier.

https://youtu.be/XbtmJMEn0Jo?t=490

Je vais te donner mon point de vu mougeon, en gros pour faire simple, sans resperidone je suis instable à donf, je peux partir en couille en mode agressif, ou dépressif, ou hyperactif et fort pour des évenements qui normalement ne devrait pas m'ébranler.

Le resperidone me stabilise, au lieux de passer mon temps dans des états proche du pétage de cable psy, de cette manière mon humeur ne dérape pas de trop ou que rarement.

En gros ça m'apporte un certain bien être, il faut aussi voir le fait cas coté je mène une vie non anxiogène.

Je pense que se serait très difficilement vivable pour mes proches si je prenais pas de médoc.

Tictac a écrit : ↑lun. avr. 27, 2020 9:13 pm Je vais te donner mon point de vu mougeon, en gros pour faire simple, sans resperidone je suis instable à donf, je peux partir en couille en mode agressif, ou dépressif, ou hyperactif et fort pour des évenements qui normalement ne devrait pas m'ébranler.

Le resperidone me stabilise, au lieux de passer mon temps dans des états proche du pétage de cable psy, de cette manière mon humeur ne dérape pas de trop ou que rarement.

En gros ça m'apporte un certain bien être, il faut aussi voir le fait cas coté je mène une vie non anxiogène.

Je pense que se serait très difficilement vivable pour mes proches si je prenais pas de médoc.

J'imagine un peu. C'est comme un stabilisateur d'humeur et un anxiolytique pour toi en fait.

Je ne ressens plus tellement le stress.

schizonaute a écrit : ↑lun. avr. 27, 2020 10:15 pm Je ne ressens plus tellement le stress.

T'as bien de la chance. C'était mon cas durant la période 2015-2018, j'étais rarement stressé (par contre j'étais plutôt un touche à tout).

Putin les benzo ça me fait rien même de façon ponctuelle, le tercian ça marche bien mais après je me tape des grosse gueule de bois c'est pas ouf. Les anti-psychotique à forte dose ponctuelle ça calme hyper bien mais au réveil je douille à fond au moins pour 7-8 heures.

Je passe trop de temps à jouer au lieu de le consacrer à autre chose

OnEstChezNous a écrit : ↑lun. avr. 27, 2020 7:32 pm En fait ça fait un peu "psychopathe égoïste" ce que je dis, mais c'est plus facile d'être un branleur quand on est en bonne santé et qu'on a du caractère parce que les gens respectent notre refus de bosser.
Quand on est schizo, on est souffrant et en demande d'aide ce qui nous oblige à accepter n'importe quel boulot de merde (ou autre activité chiante), et à ne pas faire la fine bouche. On est traité comme un esclave. À fortiori si on est gentil, timide et naïf.
C'est valable aussi dans les rapports humains (on nous demande d'écouter les gens, ne pas les contredire, être modeste, "se forcer", suivre les règles etc.) alors que les mecs en bonne santé et ayant du caractère, on ne leur casse pas les couilles, on les laisse faire à peu près ce qu'ils veulent.

C'est un cercle vicieux quand on est psychiatrisé... Après réflexion, ce n'est pas étonnant qu'ils se tournent ensuite vers de l'ésotérisme ou des sciences occultes.

J'ai pris 3 temesta il y a un certain temps et ça me fais rien.

Pourtant la fois ou j'avais perdu pied pas mal et que mon cerveau patogeait dans la choucroute ça avait marché

J'ai jeté la choucroute maison que j'ai préparée, il y avait plein de champignons dedans et ça sentait le moisi

En fait je n'ai pas peur des gens en société parce que si on fait chier, je saurai répliquer à la tictac (mais bon, je vais pas foncer la tête baissée non plus).

Dans tous les cas je ne risque rien, sauf si ce sont des guerres de bandes etc... Mais je ne m'implique jamais dans ce genre d'histoires, donc finalement je n'ai rien à craindre.

Même si je donne des réponses à côté de la plaque, que vont-ils me faire ? Nada.

Après c'est sûr qu'avoir une cognition un minimum fonctionnelle, ça aide.

schizonaute a écrit : ↑lun. avr. 27, 2020 10:59 pm C'est un cercle vicieux quand on est psychiatrisé... Après réflexion, ce n'est pas étonnant qu'ils se tournent ensuite vers de l'ésotérisme ou des sciences occultes.

J'étais en train de me dire un truc similaire hier, quand on passe ses journées à faire uniquement des trucs qu'on déteste et aucun truc qu'on kiffe réellement (sous la pression sociale), bah au bout d'un moment l'esprit/l'imaginaire se réfugie là où il peut.
Et comme la spiritualité est plus ou moins à l'image du mode de vie d'un peuple, bah, à l'échelle de l'individu, c'est à peu près la même chose, ça débouche sur des philosophies ultra-austères, comparables à du puritanisme.
En outre c'est normal d'avoir des angoisses irrationnelles quand on a subi de la répression aveugle et disproportionnée, tout simplement parce que ça correspond à des instincts tous cons (peur d'être puni, de subir des représailles etc.) en gros.